Un exemple de bonnes pratiques : le Plan de de lutte contre toute discrimination et VHSS de Théâtre Ouvert
- julieglorieuxfaar
- 2 juil.
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Face aux enjeux croissants d’éthique et de responsabilité dans le spectacle vivant, la mise en œuvre de dispositifs concrets pour prévenir les discriminations et les violences sexistes et sexuelles s’impose comme une nécessité. Théâtre Ouvert constitue un exemple d’action structurée et engagée à l’échelle d’une organisation.
Théâtre Ouvert intègre la lutte contre les discriminations et les violences et harcèlements sexistes et sexuels (VHSS) au cœur de son fonctionnement, à travers des engagements inscrits par exemple dans son contrat de cession et son règlement intérieur.
Le contrat de cession de Théâtre Ouvert tend à garantir un environnement de travail sécurisé pour l’organisateur et le producteur, excluant toute forme d’incivilité, de violence, d’agissement sexiste ou stéréotypé, ainsi que tout harcèlement sexuel ou moral.
Il engage aussi bien l’organisateur que le producteur à veiller au respect de chaque individualité au sein du collectif de travail, en accordant une attention particulière à la santé physique et mentale de l’ensemble des salarié·es.
En cas d’incident, une coopération active et de bonne foi est prévue entre les parties.
Extrait du contrat de cession de Théâtre Ouvert :

Ces principes sont renforcés dans le règlement intérieur de Théâtre Ouvert, qui proscrit tout comportement agressif, raciste, sexiste, xénophobe, classiste, et/ou discriminatoire. Ce règlement intérieur s’appuie sur la proposition de règlement intérieur rédigé par le Syndeac dont Théâtre Ouvert est adhérent.
Extrait du règlement intérieur de Théâtre Ouvert :

Il revient désormais aux directeur·ices de compagnies comme aux responsables de structures culturelles de s’emparer de ces outils et de contribuer, ensemble, à faire évoluer les pratiques professionnelles.






